Laurent, installé dans la région lyonnaise, a travaillé dans le domaine des enquêtes et des sondages pendant 15 ans. Il a souhaité voguer vers d’autres horizons, et donc vers le freelancing à impact.
Il revient aujourd’hui sur ses motivations, cette phase transitoire qui l’a aidé à mûrir son projet et ses ambitions pour l’avenir.
Laurent, est-ce que tu peux te présenter en deux mots ?
Je m’appelle Laurent, j’approche de la quarantaine et je vis dans la région lyonnaise. Après un master en marketing et communication, j’ai rapidement intégré le N°1 des sondages et études en France.
J’ai démarré ma carrière en tant que Chargé d’études puis j’ai évolué vers un poste avec des responsabilités commerciales. J’ai ensuite occupé le poste de Directeur de clientèle qui m’a permis de piloter des projets d’études pour des clients diversifiés.
J’y ai trouvé beaucoup d’intérêt pendant 15 ans. J’ai adoré travailler avec différents clients, d’autant que j’avais aussi des clients plus petits, positionnés dans des secteurs pour lesquels j’avais de l’appétence.
Comment en es-tu arrivé au freelancing engagé ?
Au bout de 15 ans dans la même structure, j’avais le sentiment que c’était le moment de rompre avec cette histoire et essayer autre chose en capitalisant sur cette belle expérience.
En fait, ça faisait déjà deux ans que je réfléchissais à ce nouveau projet professionnel. J’avais cultivé cette envie de travailler pour des acteurs engagés et sur des projets porteurs de sens. La COVID a exacerbé ce souhait mais je n’avais pas encore défini les modalités.
En parallèle de ces réflexions, j’ai fait pas mal de probono dans des structures associatives, pas rémunératrices en terme financier mais je me suis fait beaucoup de réseau et j’ai gagné aussi en assurance sur ma capacité à comprendre ce secteur et les besoins des structures vertueuses.
J’ai eu la chance de partir en très bons termes de mon entreprise au travers d’une rupture conventionnelle. Je ne suis pas passé par la case bilan de compétences mais j’ai échangé avec beaucoup d’acteurs de la transition professionnelle, pour affiner mon projet.
Pendant cette période, j’ai compris que les acteurs à impact pouvaient avoir besoin de mon socle de compétences autour des études, et c’est ce qui m’a convaincu de me lancer en tant que freelance.
Comment as-tu concrétisé ta transition ?
C’est une période qui est passée très vite.
Le programme Social Declik m’a beaucoup aidé. Cet accompagnement m’a réellement permis de consolider mon offre, d’élargir mon réseau, et d’appliquer une méthode.
J’ai été actif sur LinkedIn et j’ai aussi capitalisé sur les réseaux, en local. Grâce à cet accompagnement, j’ai provoqué pas mal de rendez-vous, avec parfois un bon alignement de planètes, ce qui fait que ces rendez-vous exploratoires vont peut-être aboutir sur des opportunités dans le futur.
La partie introspection est également intéressante dans cette démarche pour imaginer un champ des possibles et faire preuve de créativité pour son projet professionnel.
Que souhaites-tu proposer comme type de prestations aux structures engagées ?
D’une part, j’ai réalisé que les structures à impact avaient un réel besoin sur les études de marché, mon socle de compétences.
Mon idée pour la suite, c’est d’envisager de capitaliser sur d’autres compétences que j’ai pour comme la formation et le conseil ou pourquoi pas le Business Développement et la valorisation commerciale. J’aime l’idée que mon offre en tant que freelance ne reste pas figée.
Et aujourd’hui, tu en es où ?
Je viens de décrocher ma première mission à impact en tant que freelance en répondant à une annonce que j’ai trouvé sur Jobs That Make Sense.
Donc actuellement, je suis en pleine mission que je devrais finir la semaine prochaine.
Cette première mission me donne plein d’idées pour la suite et me conforte dans le fait que j’ai fait le bon choix.
Si toi aussi tu souhaites te lancer dans le freelancing à impact, mais le faire avec une méthode et un cadre, découvre le programme Social Declik pour t’aider dans cette transition professionnelle !