J’ai envie de devenir freelance mais j’ai peur de me sentir isolé ! Les collègues vont me manquer.
Si tu crains de te retrouver seul·e avec ton chat (si tu en as un) en te lançant en freelance, cet épisode est fait pour toi ! La bonne nouvelle, c’est que contrairement à ton ancienne équipe, cette fois-ci tu vas pouvoir choisir tes collègues.
Il existe de nombreux moyens de s’entourer et de partager avec d’autres freelances, que ce soit par le biais de collectifs, d’espaces de coworking ou d’événements. Tu auras donc l’embarras du choix pour trouver les consœurs et confrères qui te correspondent.
En plus de te sentir moins seul·e, tu pourras élargir ton réseau, te former et collaborer avec d’autres freelances engagés, le tout sur des sujets qui t’inspirent et avec joie 🙂
Pascal Leandri, Adélaïde Malthet et Julien Peeters viendront témoigner à notre micro et partager comment ils se sont entourés pour se sentir moins seuls et tout ce que cela leur apporte.
Enfin, nous te partagerons des ressources et des propositions d’actions pour t’aider sur ce sujet. Nous espérons te croiser à une prochaine rencontre Freelance For Good.
Les liens de notre rubrique Ressources pour aller plus loin :
- L’agenda makesense avec des événements engagés en ligne et en physique
- Une vidéo sur l’écologie de soi par Social Declik
- Tous nos événements gratuits Freelance For Good sur notre agenda
Coline : Allô Charlotte ?
Charlotte : Oui, salut Coline.
Coline : Oui, j’en ai marre là, je ne vois personne. Ça fait 4 jours que je ne suis pas sortie de chez moi, j’avoue que ça commence à me peser d’être toute seule et de ne voir personne. Tu veux pas qu’on se fasse un dej un de ces quatre ?
Charlotte : Écoute, fais-moi un WhatsApp parce que là je rentre en réunion, y a ma boss qui m’appelle et mes collègues sont en plein café. J’ai vraiment pas le temps, je suis désolée, mais on s’appelle et on se fait un dej. Bisous.
Coline : Si toi aussi tu as déjà ressenti cette sensation, cet épisode est pour toi. Si tu as l’impression que tu n’as que ton chat pour seul collègue, on t’a fait un épisode dédié.
Charlotte : C’est une idée reçue très ancrée, que les freelances sont seul·es face à leur ordi et ne parlent à personne de la journée, et que la seule personne qu’ils voient, c’est leur chat.
Coline: Pas de panique, on a plein d’astuces pour que tu te sentes moins seul·e. On va aussi te partager deux idées, des témoignages et enfin des petites actions et des ressources.
La première idée que l’on voulait partager, c’est de t’entourer de freelances. Il y a plein d’espaces de coworking, de communautés et de moyens de s’entourer de freelances. C’est à toi d’aller les chercher en rejoignant un espace de coworking en physique, comme si tu allais au travail. Tout dépend de si tu es bien chez toi et de tes envies, mais ça peut être une solution.
La deuxième idée, c’est de rejoindre un collectif de freelances, en physique ou en ligne. Pour Social Declik, c’est plutôt en ligne. L’idée, c’est d’avoir un moyen de se sentir moins seul·e, en se connectant, par exemple, le matin sur Slack avec les autres freelances. L’idée, c’est de se dire : qu’est-ce qui se passe aujourd’hui ? Avoir des petites réunions entre freelances pour ne pas se sentir seul·e dans ses missions et son activité. Ce qui est intéressant dans l’idée de réseau et de communauté, c’est que ça peut t’apporter beaucoup. Il y a la sensation de se sentir moins seul·e et entouré·e, ainsi que le fait de rencontrer des personnes avec qui tu pourras déjeuner et partager.
Quand tu rejoins un espace de coworking ou une communauté, ça peut te permettre de te former. Souvent, il y a des ateliers proposés, donc tu peux t’autoformer. On se forme aussi par mimétisme en voyant d’autres freelances travailler, en observant leur rythme et leur façon de fonctionner. Tu peux aussi grandir et apprendre, ce qui peut être plus difficile si tu restes seul·e chez toi, car tu seras moins challengé·e et nourri·e par les autres.
Cela peut également t’aider à collaborer. Par exemple, si tu discutes avec quelqu’un qui fait du marketing et de la communication, et que toi tu es graphiste, il se peut qu’à un moment donné, cette personne ait besoin de toi et que vous puissiez collaborer ensemble. Cela permet de rencontrer d’autres personnes, de découvrir les clients de chacun·e et potentiellement de répondre ensemble à des missions.
Donc voilà, toutes ces options de s’entourer et de se regrouper te permettent de rencontrer des personnes et, éventuellement, de collaborer.
Charlotte : En plus de développer tes relations sociales et professionnelles avec des pair·es, tu peux aussi te plonger dans le secteur de l’impact et auprès des structures engagées. On s’est rendu compte, en échangeant avec les freelances de la communauté, que c’était très enrichissant de participer à des événements physiques ou en ligne. La plupart privilégient le présentiel, car les relations sociales y sont toujours plus riches. Ils se rendent donc régulièrement à des événements organisés par des structures de l’impact ou des acteurs qui fédèrent ces structures, comme MakeSense, par exemple. C’est un excellent moyen de rencontrer des acteurs engagés.
Un deuxième moyen, qui a un double intérêt à la fois pour apprendre et pour se créer un réseau, c’est de participer à des ateliers d’intelligence collective sur les enjeux écologiques et sociaux. Cela peut être une fresque du climat, du numérique, sur la biodiversité des océans, et bien d’autres. Ces ateliers permettent d’affiner et de développer tes connaissances sur un sujet précis. Tu as aussi des ateliers sur l’impact carbone, comme MyCO2 et Atelier 2 Tonnes. C’est l’occasion de passer un bon moment, d’apprendre des choses et de se faire un réseau.
Pourquoi est-il important de développer des relations sociales en se plongeant dans le secteur de l’impact ? Cela te permet de développer ton réseau et de mieux comprendre les enjeux écologiques et sociaux d’un point de vue global ou de zoomer sur un sujet particulier. Par exemple, en participant à une fresque du numérique, tu comprendras mieux les externalités négatives de nos activités digitales, ce qui peut être intéressant pour ta prospection. Un autre avantage est que cela peut aider à atténuer ton syndrome de l’imposteur. En te frottant à ce secteur, tu vas mieux le comprendre, en saisir les codes, et te sentir plus légitime et aguerri·e sur les enjeux écologiques et sociaux.
Ce qu’on constate, c’est que les personnes qui passent par ce réseautage dans le secteur de l’impact soignent souvent leur sentiment d’illégitimité. Elles se sentent mieux dans leurs baskets et plus prêtes à proposer leurs services de manière rémunérée en tant que freelances. Ce qui est chouette avec ces deux façons de développer tes relations sociales, à travers tes pair·es et à travers les acteurs de l’impact, c’est que tu es ton propre DRH : c’est toi qui définis les règles et choisis tes collègues. Et ça, c’est quand même un luxe.
Coline : On dit souvent que ce qui est chouette avec les ami·es, c’est que c’est un peu comme la famille, mais qu’on les choisit. Et là, c’est un peu pareil.
Charlotte : On le voit dans la communauté, c’est ce que nous disent les membres. Les gens se connectent le matin, et s’ils ont un « caillou dans la chaussure », ils écrivent sur notre canal Slack. Très rapidement, d’autres freelances réagissent. On organise des ateliers de codéveloppement de 30 minutes, des apéros une fois par mois, tout cela dans un esprit de camaraderie avec des personnes partageant les mêmes idées. Des affinités et des amitiés se créent au sein de la communauté, et ça, c’est plutôt chouette.
Pour illustrer cela et vous donner un peu d’inspiration sur les différentes façons de développer votre réseau professionnel et vos relations sociales, nous allons avoir trois témoignages. Nous commencerons avec Pascal Leandri, Senior Project Manager, qui va vous expliquer comment il fait pour ne pas être seul avec son chat.
Témoignage de Pascal Leandri, Senior Projet Manager
Pascal : Salut Coline, salut Charlotte. Moi, c’est Pascal, freelance depuis 2019. Je suis chef de projet informatique et également Product Owner.
Je n’ai pas de chat, donc je me retrouve assez vite seul, notamment pendant la phase COVID. L’importance des collectifs pour sortir de l’isolement, c’est un sujet hyper intéressant. Pour ma part, j’ai commencé à faire du télétravail fin 2018 lorsque j’ai quitté la région parisienne pour un rapprochement familial.
J’étais à 100 % en télétravail, seul chez moi, et je trouvais ça vraiment trop bien. J’étais autonome, plus efficace dans ma production, sans parasitages. Mais je me suis vite rendu compte que parler et échanger avec des humains, ça me manquait. Outre les pauses café virtuelles que j’ai mises en place avec mon équipe de projet chez mon client de l’époque, j’ai ressenti des convictions et des questionnements qui sont remontés à la surface.
Comment gérer cela ? Je suis très sensible à l’aspect environnemental depuis que j’ai des enfants et au handicap car j’ai un enfant handicapé. J’ai commencé par rejoindre Time for the Planet. Le mot d’ordre de ce collectif, c’est « on est dans l’action, on utilise l’entrepreneuriat pour lutter contre les gaz à effet de serre ». Donc, je suis devenu actionnaire, et ça m’a plu, notamment la partie évaluation des innovations.
Cela m’a poussé à me renseigner, à m’instruire et à rencontrer des personnes avec qui échanger sur ces sujets lors d’événements. Ensuite, je suis devenu animateur pour des fresques. Moi, j’aime les jeux de plateau, et ça m’a parlé tout de suite. Ce qui m’a fasciné, c’était la force et la simplicité de l’outil.
En parallèle, j’ai rejoint Social Declik. C’est un peu plus terre à terre, un peu plus personnel. Je voulais creuser le sujet du freelance à impact, je me cherchais professionnellement avec le fameux besoin de donner du sens à son travail. J’ai trouvé des réponses via la communauté. Avec toutes ces expériences, j’ai vu combien les collectifs sont intéressants parce qu’ils nous renvoient une réflexion de nous-mêmes. Ils nous permettent d’avancer et de nous questionner.
Pour moi, le collectif, c’est un foisonnement d’idées, de créativité et de points de vue qui enrichissent notre réflexion et nous sortent de l’isolement. Après, on peut avoir besoin de temps pour se renfermer dans notre bulle, pour maturer et décanter tout cela.
Il y a aussi l’aspect soutien et solidarité dans les collectifs. On se sent sécurisé de savoir qu’on peut s’appuyer sur des personnes autour de nous et grandir. Aujourd’hui, j’essaie de mettre en place certaines routines, comme aller dans des espaces de coworking, ne serait-ce que pour parler à des gens. Cela peut déboucher sur des échanges de CV, découvrir un artiste inconnu ou même finir par assister à un concert de fanfare.
Coline : Pascal nous montre aussi qu’au sein d’un collectif, on peut recevoir, se former, mais aussi donner. C’est intéressant et valorisant de pouvoir partager ses compétences. C’est vraiment donnant-donnant : on n’est pas que passif, on peut aussi être actif et partager ses compétences, ses connaissances, et les bonnes pratiques.
On vous propose maintenant le témoignage d’Adélaïde Malthet, qui fait partie de la communauté et va nous raconter comment cela lui permet de se sentir moins seule.
Témoignage d’Adélaïde Malthet, membre de la communauté
Adélaïde : Salut Charlotte, c’est vrai que quand on passe de salarié·e à indépendant·e, on peut vite regretter les moments de convivialité qu’on avait sur notre lieu de travail. Et, prendre le café en tête-à-tête avec son chat, c’est vite limitant. Heureusement, de nos jours, on a des communautés comme Social Declik pour répondre à nos besoins de connexion. Tous les matins, c’est devenu un réflexe de me connecter au Slack pour partager des sujets qui nous tiennent à cœur ou aussi partager des ressources, des livres, des vidéos et des missions.
On peut aussi facilement demander de l’aide sur n’importe quel sujet, ça peut aller de nos conditions générales de vente à des questions plus techniques. Il y a toujours une personne pour nous répondre avec bienveillance. On est vraiment très efficaces dans notre travail. On a des événements qui sont organisés en ligne mais aussi hors ligne, et c’est vraiment très sympa de pouvoir se rencontrer. Ce sont toujours des supers moments.
J’apprécie aussi les possibilités de co-création. Par exemple, nous avons monté la Declik Academy, un programme de formation sur le digital et la RSE à destination des structures à impact et des entreprises en transition. Nous avons construit ensemble le catalogue, où chacun·e a apporté son expertise et sa pierre à l’édifice. C’était très enrichissant d’avancer ensemble.
Charlotte : Très sympa ce témoignage d’Adélaïde qui nous montre qu’au sein d’une communauté, on peut y chercher plusieurs choses et y apporter des choses, ce qui est souvent une source de joie de participer à la construction de quelque chose.
On va terminer avec un 3ᵉ témoignage, celui de Julien Peeters, qui va nous parler de ses relations sociales et professionnelles.
Témoignage de Julien Peeters, membre de la communauté
Julien : Bonjour Charlotte, je m’appelle Julien, je suis entrepreneur à impact et dirige une agence de développement web spécialisée dans le bas carbone. J’aide mes client·es à développer des solutions à faible impact environnemental.
Sur la question de la solitude du freelance, où le chat est parfois le seul collègue, cela me rappelle l’importance du réseau. Il est crucial de ne pas s’isoler et de ne pas attendre d’avoir suffisamment d’expérience avant de rejoindre un réseau. Le réseau est ce qui nous fait grandir. Participer à des afterworks, à des colivings, rencontrer des gens dans des coworkings ou des cafés est un excellent moyen d’apprendre à pitcher et à se sentir à l’aise dans la communication et la négociation. On développe ses compétences sociales en construisant son réseau.
Il est aussi important pour un·e freelance de rester à la page et de continuer à se poser des questions sur sa pratique et son expertise. Rencontrer d’autres freelances permet de se confronter à d’autres réalités, approches, et manières de réfléchir, ce qui enrichit notre pratique. Cela permet aussi de découvrir des opportunités de mission.
Par exemple, lors d’une session dans un coworking avec une UX designer, une graphiste et une rédactrice web, nous avons rapidement décidé de chercher des missions ensemble. Nos compétences étaient ultra complémentaires, et nous avons envisagé de proposer des missions packagées ou de nous soutenir mutuellement sur des projets.
Je comprends que, en tant que freelance, aller à la rencontre des autres peut susciter des peurs, comme la crainte de la concurrence ou de ne pas être à la hauteur. Je pense que ces peurs sont souvent liées au jugement ou au syndrome de l’imposteur, surtout au début de la carrière. Il est important de dépasser ces peurs et de comprendre que rencontrer d’autres freelances est bénéfique. Cela permet de s’ouvrir, de se rassurer et de constater qu’il y a de nombreuses opportunités à saisir.
En ce qui concerne la concurrence, je suis convaincu que développer une identité de marque ou mettre du cœur dans ses prestations permet de se démarquer. Chaque personne apporte une touche unique à son travail. Par exemple, j’utilise un carnet pour prendre des notes et gérer mon agenda, tandis que certains développeurs web utilisent des outils numériques comme Notion. Ce qui fait que, même si le métier est le même, le rendu et l’approche seront différents. Cela permet aussi de s’adresser à des clients différents.
Coline : J’espère que le témoignage de Julien, qui vous partage tous ses retours d’expérience et à quel point ça l’aide de se mettre dans un espace de coworking ou dans un collectif, vous donne envie de vous dire que vous pouvez ne pas être seul·e.
Nos 3 actions à mettre en place
Coline : Pour continuer, on voulait vous partager trois actions.
La première action serait de rejoindre une communauté ou un espace de coworking, qu’il soit physique ou digital. Même si cela peut sembler être un coût et qu’au début d’une activité on se dit qu’on n’a pas forcément beaucoup d’argent à investir, cela va vous aider et vous permettre de vous lancer. Essayez de voir ça comme un investissement.
Charlotte : La deuxième action qu’on te propose de mettre en place, c’est de trouver des événements qui vont te mettre en relation avec des structures de l’impact, comme ces fameux ateliers d’intelligence collective qui vont te permettre de grandir dans ta compréhension des enjeux écologiques et sociaux.
L’idée n’est pas d’en faire trop et de te fatiguer parce que ça peut aller très vite, surtout si tu es sur la région parisienne ou dans d’autres grandes métropoles en France, où tu vas avoir une pléthore d’alternatives et de propositions. Essaie de remplir de temps en temps ton agenda avec des événements sur ce sujet-là qui t’intéressent et où tu as envie d’aller. Bien évidemment, ne te force pas, mais choisis des événements qui te donnent envie.
Coline : La troisième action, c’est de bien ancrer cela dans ta routine. La meilleure manière de vérifier si c’est bien ancré dans ta routine, c’est de te poser régulièrement la question, par exemple tous les vendredis : Est-ce que cette semaine, j’ai eu assez de relations sociales ? Est-ce qu’il y a un moment où je me suis senti·e un peu seul·e ? Est-ce que j’ai été en manque ou en surplus d’interactions sociales ?
Il est important de ne pas se mettre trop de pression. Prends régulièrement le temps de réévaluer ton équilibre entre les interactions sociales, le télétravail et ce que tu fais à la maison. Il n’y a pas d’injonction à avoir des relations sociales ; cela dépend vraiment de toi. Chacun·e doit trouver le niveau d’interaction sociale qui lui permet de se sentir bien et entouré·e quand il ou elle en a besoin.
Et maintenant, comme à chaque épisode, on va passer à la partie ressource.
Nos ressources pour aller plus loin
Charlotte : On va vous proposer trois ressources pour avancer dans la construction et le développement de vos relations sociales et professionnelles, si vous le souhaitez bien sûr.
Première ressource : rendez-vous sur Makesense Event. C’est la plateforme de Makesense qui répertorie tous les événements des acteurs de l’impact, œuvrant pour la transition écologique et sociale. Il y a une multitude d’événements, et tu peux filtrer par ville, par type, par thématique. C’est vraiment sympa pour trouver des événements près de chez toi ou en ligne, qui t’intéressent et te permettront de grandir et de faire du réseau.
Coline : Deuxième ressource : une vidéo qu’on a faite sur l’écologie de soi, parce qu’il nous semble important de prendre soin de soi pour pouvoir prendre soin du monde. Pour éviter tout désenchantement et essayer de ne pas s’éparpiller, on a partagé plein d’infos et de conseils concrets suite aux nombreux échanges qu’on a eus avec les membres de la Communauté.
Charlotte : 3ème ressource, on te propose de te rendre sur la page agenda de notre site web. Très régulièrement, on organise des événements dans la vraie vie et gratuits auxquels peuvent se rendre tous les freelances qui s’intéressent de près ou de loin à l’impact. Ces événements sont dans les grandes villes de France, à Paris, à Bordeaux, à Lyon, à Marseille, à Nantes, à Rennes… On partage aussi tous les événements en ligne sur cette page, si jamais tu n’es pas dans une grande métropole.
Et ces événements sont organisés par des référents de la Communauté, donc c’est l’occasion de les rencontrer et de rencontrer aussi les déclikeurs et déclikeuses. Pour rappel, des déclikeurs, c’est le petit nom des membres de notre Communauté, donc l’occasion de rencontrer ce petit monde, ce mouvement Freelance For Good dans la vraie vie, dans un cadre convivial.
Coline : J’espère qu’avec cet épisode, tu te sens moins seul·e. Pour rappel, dans notre Communauté, il y a déjà une centaine de déclikeurs et de déclikeuses. Tu pourras trouver des gens qui te ressemblent et qui partagent tes valeurs. Il y a plein de moyens de te sentir moins seul·e, et on serait ravi·e·s que ce soit avec Social Declik.
Charlotte : On espère que cet épisode t’inspirera et que tu trouveras ta petite routine pour créer et développer des relations sociales enthousiasmantes, qui te nourriront aussi intellectuellement sur tous ces sujets. Donc, on te souhaite une bonne continuation et on se retrouve pour le 10ème épisode, qui sera le dernier épisode de cette première saison.
On espère que tu repars avec de bonnes ondes et l’envie d’agir.
Nous, on revient rapidement pour un nouvel épisode.
N’hésite pas à t’abonner et à nous recommander à tes ami·e·s freelances pour continuer à se serrer les coudes.