Entre freelances, digital et Economie Sociale et Solidaire (ESS), il y a souvent tout un monde. Rares sont les freelances qui ont l’opportunité de trouver des missions à impact, rares sont les structures de l’ESS qui se tournent vers les indépendants. Au-dessus de ce gouffre, nous avons décidé de construire un pont : Social Declik.
On souhaite aplanir les difficultés de connexion entre les deux mondes en adoptant un discours chargé de bon sens. L’avantage du freelance, contrairement à un salarié, c’est sa flexibilité. C’est également, pour des structures qui peuvent avoir peu de budget, un moyen de mettre en place des projets en travaillant avec des experts de manière ponctuelle et maîtriser les coûts. Et, afin de pousser vers des pratiques gagnant-gagnant, elles prônent en faveur d’une juste rémunération, le bénévolat n’étant pas toujours une solution adaptée.
On a partagé notre histoire et la construction de Social Declik dans cet article écrit par Marie-Cécile du Patchwork Fou.
Le Patchwork Fou ? C’est une communauté de personnes qui veulent changer leur quotidien en favorisant l’émergence d’idées et de projets à impacts positifs sur la société et l’environnement.